Les Criminels
Texte original en allemand traduit en français par
Cette pièce de l’Autrichien Ferdinand Bruckner écrite en 1928 est mise
en scène par Richard Brunel en octobre 2011 dans la nouvelle traduction
de Laurent Muhleisen à La
Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche.
«
Les Criminels ou la vie et le destin des occupants
d’un immeuble dont la façade deviendrait transparente. Se dévoile alors
l’intimité d’une micro-société hiérarchisée et unifiée par le sexe et
l’argent. Derrière un vernis social, on découvre les mêmes médiocrités,
les mêmes lâchetés, qui conduisent à la transgression de la loi, à
l’atteinte aux mœurs, au vol, au crime. Puis quatre procès se déroulent
dans un temps fictionnel identique afin que soient mis en valeur le
cérémonial et le traitement différent des affaires. Le dernier acte lève
le rideau sur l’état de l’immeuble après ce cataclysme judiciaire :
tout a profondément changé, une nouvelle génération est propriétaire des
lieux, assumant sans vergogne son pouvoir et ses valeurs. »
R. Brunel, metteur en scène, et C. Ailloud-Nicolas, dramaturge
« Bruckner était un “dialoguiste” hors pair, usant d’une langue
précise, explicite, directe, qu’accentue encore la dimension d’actualité
de la pièce. Il fallait aller au plus près de ce rythme effréné, de
cette virtuosité dramaturgique tourbillonnante, de cette langue
insolente. C’est à cette aune-là que se mesure la modernité proprement
sidérante de cette œuvre. »
L. Muhleisen, traducteur
Cette pièce de l’Autrichien Ferdinand Bruckner écrite en 1928 est mise en scène par Richard Brunel en octobre 2011 dans la nouvelle traduction de Laurent Muhleisen à La
Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche.
«
Les Criminels ou la vie et le destin des occupants d’un immeuble dont la façade deviendrait transparente. Se dévoile alors l’intimité d’une micro-société hiérarchisée et unifiée par le sexe et l’argent. Derrière un vernis social, on découvre les mêmes médiocrités, les mêmes lâchetés, qui conduisent à la transgression de la loi, à l’atteinte aux mœurs, au vol, au crime. Puis quatre procès se déroulent dans un temps fictionnel identique afin que soient mis en valeur le cérémonial et le traitement différent des affaires. Le dernier acte lève le rideau sur l’état de l’immeuble après ce cataclysme judiciaire : tout a profondément changé, une nouvelle génération est propriétaire des lieux, assumant sans vergogne son pouvoir et ses valeurs. »
R. Brunel, metteur en scène, et C. Ailloud-Nicolas, dramaturge
« Bruckner était un “dialoguiste” hors pair, usant d’une langue précise, explicite, directe, qu’accentue encore la dimension d’actualité de la pièce. Il fallait aller au plus près de ce rythme effréné, de cette virtuosité dramaturgique tourbillonnante, de cette langue insolente. C’est à cette aune-là que se mesure la modernité proprement sidérante de cette œuvre. »
L. Muhleisen, traducteur