La Dame du café d’en face
Les Becquart habitent un ancien cabaret, autrefois boucherie. Il répare un vieil orgue, elle parle. Son mari l’a trompée avec La dame du café d’en face. Bavardages où se mêlent passé et présent et qu’interrompt l’arrivée de leur petite fille et de son fiancé black. Avant d’être accepté par la famille, le jeune homme devra se plier à des rites d’intégration, séries d’épreuves cruelles et de jeux de rôles inattendus.
Une langue fluide, une pièce étrange : tantôt drame familial, tantôt fable.
Ce texte figure également dans les éditions suivantes :
Jaz
Jaz est une partition pour une actrice-musicienne, qui interprète avec son corps et sa voix toutes les nuances d’une perte.
Ce
monologue, ou plutôt ce dialogue entre une femme et elle-même, entre ce
qu’elle est et ce qu’elle était, entre sa présence et son absence,
réunit ces deux femmes et reconstruit l’identité amputée par le viol,
rendant à Jaz son z manquant.
Un texte percutant, composé dans une
écriture rythmique, sensuelle et sonore qui caractérise le jazz troué et
enlacé de Koffi Kwahulé.
Ce texte figure également dans les éditions suivantes :