Car la planète n’a pas besoin de mes pleurs
Elon Macbeth s'adresse à la jeunesse mondiale en tant que président d'une entreprise innovante. Il exprime son amour pour l'humanité et son respect pour la diversité des cultures, tout en soulignant l'importance de l'unité face aux défis de la planète. Il refuse de pleurer sur les malheurs de la Terre et préfère partager ses projets d'avenir, notamment le développement de technologies avancées comme des voitures électriques et des missions vers Mars. Cependant, son discours devient de plus en plus désespéré et agressif lorsqu'il est confronté à un messager qui annonce que les forêts se mettent en mouvement pour envahir les villes, symbolisant une révolte de la nature contre l'exploitation humaine.
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