William Pig
Le Cochon qui avait lu Shakespeare
Un paysan anglais élève des cochons. Affamé, l’un d’eux, William, dévore l’édition complète des œuvres de Shakespeare, se métamorphose en être humain et s’enfuit. Après avoir digéré le plus grand dramaturge de tous les temps, il ne lui reste plus que son groin, ses odeurs et… sa séduction.
Une parole habilement écrite sur les mœurs sociales et politiques de ce millénaire ; une fable percutante, intelligente et drôle.
Dans la presse
"Christine Blondel signe une charge contre la société qui se rue sur la nouveauté, qui consomme avec frénésie."
Vincent Josse, France Inter.
Pour aller plus loin : un article de Jack Percher dans le numéro 8 d'
Aparté est à découvrir
ici.
Soutiens
- Ouvrage publié avec le concours du CNL.