"Laurène Marx dit bien cette violence, et celle, souterraine, psychologique qui mine celle qui entreprend ce long parcours : la perte d’un travail, de certain.es ami.es. La prostitution, la drogue. Et le danger qui guette. La solitude. Son écriture est alerte. Des phrases longues et brèves, un rythme que l’on ressent particulièrement quand on dit le texte, ou j’imagine, quand on le joue. L’humour est parfois au vitriol, et le texte est très drôle. [...] Le texte dramatique de Laurène Marx est un grand texte."
Pour un temps sois peu, Anna G, Litterama - Les Femmes en littérature, novembre 2021
"[Laurène Marx] questionne le monde, sa propre conscience, son âme en quête d’une sorte d’idéal, d’adéquation entre corps et identité sexuelle. Elle n’a pas toujours été Laurène. Elle était autre avant. Elle a franchi toutes les étapes de la transition pour devenir elle, les humiliations, les encouragements, les doutes, les angoisses, les certitudes, les amours déçues, les amitiés perdues. Fière, fragile, caustique – les combats qu’elle a menés pour être elle l’ont marquée – , Laurène Marx livre ses pensées, expose avec humour saignant, pudeur acéré les tragédies de sa vie. Elle rit, troublée par sa liberté de ton, son style trash mais jamais vulgaire."
La Mousson d'été en quête d'identité, Olivier Frégaville-Gratian d'Amore, L'Œil d'Olivier, août 202160 minutes
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