Dans Pour rire pour passer le temps, l’écriture de Sylvain Levey avance en pointillé, avec le goût amer de l’acier dans la bouche.
Quatre personnages « jouent » à la torture : deux bourreaux, une victime, un complice malgré lui. Mais est-on complice malgré soi ?
Un texte à la langue coup de poing, à la sensualité perverse, à l’humour désespéré, pour un plaisir de lecture et pour quatre comédiens athlètes.
30 minutes