Passions et Prairie / Légère en août
Que faire de ses parents âgés ? Comment porter un enfant dont on ne sera pas la mère ? Telles sont les deux questions graves et sensibles que posent Denise Bonal dans ces pièces aux dimensions sociales et féministes, dont l’actualité brûlante commandait la réédition. Avec causticité et tendresse, Denise Bonal livre là deux perles théâtrales qu’on ne risque pas d’oublier.
Pour aller plus loin : un article de Catherine Corjon dans le numéro 2 d'
Aparté à découvrir
ici.
Soutiens
- Ouvrage publié avec le concours du Centre national du livre lors de sa première édition
Détail des textes présents dans ce livre
Passions et Prairie
Dans Passion et prairie¸ une fratrie de trois sœurs, flanquées de maris antagonistes se retrouvent pour un déjeuner sur l’herbe, en attendant l’éclipse. Mais, lasse d’être considérée comme quantité négligeable, leur vieille mère leur annonce sa volonté de s’éclipser avec un fils adoptif, plus compréhensif.
Légère en août
Elles sont un peu perdues ces jeunes femmes légères en août, dans cette institution censée abriter leurs grossesses. Les unes portent un enfant pour le vendre à sa naissance. Les autres ont été placées là pour cacher une situation honteuse. Mais leur liberté de ton et leur soif de jeunesse l’emportent sur tout pathos.