C’est un matériau à jouer, des confrontations pour les acteurs, à se dire, à balancer contre le mur, sans fleur, ni fard, des histoires d’amours, de thunes. Chaque texte apporte sa propre fin. On pourrait tous les mélanger comme un grand jeu de cartes. Ce sont des bribes, de petites coupures, des voix qui éclatent doucement, les voix de tout le monde et de personne, du sourire caché à la violence de jours entiers, de nuits entières.