Ailleurs, la vraie vie
Dans Ailleurs, la vraie vie, Azama évoque les nouveaux parias de nos sociétés que sont les migrants,
arrachés à leurs terres d’origine, poussés sur les routes par la misère
ou la guerre. Des gens de télévision et une policière montrent, telles des lucarnes-miroirs, l’inanité de notre époque qui utilise ces miséreux parvenus sur nos rives comme les canaris dans les mines, annonçant par leur asphyxie le coup de grisou.