Le Marchand de Venise
Texte original en anglais traduit en français par
Une des plus belles comédies de Shakespeare qui voit le triomphe de la jeunesse et de la beauté, de l’amour et des rires, face à la rigueur de la loi, fût-elle d’origine divine.
Amoureux de Portia, belle et riche héritière, Bassanio, gentilhomme désargenté, s’efforce d’obtenir sa main. Pour l’aider, son ami Antonio, marchand chrétien, emprunte une somme de 3 000 ducats à l’usurier juif Shylock. Le jour de l’échéance, la dette n’étant pas réglée, Shylock exige l’exécution de la clause. Mais l’habileté de Portia, revêtue de la robe d’avocat, confond l’usurier retors et sauve Antonio.
Préface de Danièle Frison, dossier par Jean-Michel Déprats.