La Pierre philosophale
Texte original en allemand traduit en français par
Dans La Pierre philosophale (rédigée en 1909), l’alchimiste Basile, retiré au fond de son château, n’est pas sans évoquer un Faust wedekindien. Opposé à une figure d’inquisiteur, confronté à de faux fils spirituels, malmené par Lamia (le monstre ou l’amie ?), nargué par son bouffon, le vieux maître joue à qui perd gagne avec le monde, enjeu de sa maîtrise.
Une œuvre testamentaire avant l’heure, dirait-on, que l’auteur a voulue de bout en bout en vers, suprême défi, suprême distance. Le sous-titre de la pièce, « Le luth, l’arbalète et le fouet » renverrait au chant, au trait d’esprit et à la violence.
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