"Cette partition dit avec tendresse le chaos de notre monde, l'exil, la nécessité de la transmission la cruauté et la lucidité de l'enfance."
Critique : Je m'appelle Bashir Lazhar, Fabienne Pascaud, Télérama, février 2023
"Avec poésie et sensibilité, la pièce confronte l'indifférence des adultes à la sensibilité des enfants. Un moment plein d'humanité, une ode à l'insouciance et à la générosité."
Je m'appelle Bashir Lazhar (Double intrigue au collège), Sarah Franck, Arts-chipels, février 2023
60 minutes
Les droits de représentation sont gérés par l'agence artistique Duchesne