La première cherche à faire fonctionner la scène comme un lieu clos par un quatrième mur et reposant sur l’imitation du réel. La seconde s’éloigne du réel et le figure par des voies détournées, métaphoriques, mettant en avant tous les outils de la théâtralité scénique. Celle-ci permettra de travailler le symbolique et l’artistique. La troisième permet d’observer le phénomène de l’épicisation (cf. M. Bernanoce, Écrire et mettre en espace le théâtre).