Après avoir repéré la forme type de la lettre et ses écarts, on pourrait demander de donner à chaque lettre un titre qui résume l’essentiel, ou deux, l’un neutre, l’autre expressif. Ceci mettrait en évidence le contraste entre la folie, la monstruosité qui s’empare de Simon et la limpidité qui se dégage de la première vision du père dans le regard de la mère, vision rassurante mais…
On abordera leur intérêt dramaturgique : rythmer la scène, par une pause monologuée, après le conflit de la première partie et avant une nouvelle tension dramatique, le retour de l’Ogrelet bouleversé ; préparer et éclairer le récit des pulsions animales qui va suivre et du chagrin de l’Ogrelet.
Impressions des lecteurs, détermination de la raison du chagrin de Simon, commentaire des didascalies (l’Ogrelet petit animal qui fait peur, petit animal apeuré) expressivité de l’imparfait à valeur répétitive qui dilue le temps, dans le récit du drame.
On pourra faire observer le retour à la même situation qu’au début mais inversée (affolement de Simon ; mère rassurante).
Mystère à lister : l’odeur des roses qui ramène Simon à lui-même et s’oppose à l’odeur du sang (à rapprocher du type de nourriture sélectionnée par la mère p. 12).
À préparer à la maison, lecture à voix haute, au choix de chacun, de l’une des lettres ou du récit de Simon pp. 31-32.